Groupe2

32. Dommage pour nous, il ne s’agit pas (encore) de la température extérieure ; non plus heureusement des kilomètres à parcourir. Ce chiffre désigne simplement le nombre de participants à notre marche rapide de ce mardi.

Nous nous garons entre la mairie de Vesaignes, bâtiment atypique rénové, et l’église dédiée aux saints apôtres Pierre et Paul.

La partie plane pour traverser le village en direction de l’écluse n°12 du canal est courte, bien trop courte pour nous donner le temps de nous échauffer. Car, voici déjà la première difficulté du jour de l’autre côté de la ligne de chemin de fer et de la D619.

Le chemin de la Rosière, bien raide, nous amène sur un premier palier où nous sommes accueillis par du grésil. Le lieu baptisé « la côte froide » ne nous laisse pourtant pas un sentiment frisquet, d’autant que nous n’en n’avons pas fini avec les efforts.

Comme chacun le sait, après la montée, bien souvent, il y a… la descente. Le bois de Marne nous offre un sentier, certes pittoresque, mais surtout bien boueux. Plus nous descendons, plus nous empruntons un ruisseau à la place du sentier prévu à cet emplacement.

Nous prenons le temps de secouer nos chaussures sur la petite route menant à l’écluse de Thivet, puis sur le chemin de halage. A peine effleuré, il nous faut déjà quitter Thivet par la côte Laraille, bordée de part en part par des tapis de jonquilles. Nous accédons au bois du Charmoy, pour mieux retrouver la bourgade un peu plus loin.

Le retour sur Vesaignes se fait par un chemin bien gras, et une descente par le bois de Perroie.

Une chose est sûre : La Marne n’est pas prête d’être asséchée. Nous ne pouvons compter le nombre de sources, puis de ruisseaux venant l’alimenter, tant il y en a.

La semaine prochaine, rendez-vous sur le parking du Mausolée de Faverolles

FW